Lait Caillé du Cinéma est un blog sans prétention qui parle de films, de films, de films et aussi de séries. J'espère que vous prendrez plaisir à le lire comme j'aurais plaisir à vous lire.
Si l’on devait citer une personnalité marquante du cinéma US des années 90, ce serait certainement Quentin. Je me permets de l’appeler par son prénom, non pas que je le connaisse personnellement ou pour faire branchouille, mais parce que c’est le genre...
Lire la suiteBonjour tout le monde ! Un petit message pour vous signaler l'existence d'un super tumblr sur la décennie 1990, c'est drôle, intéressant, et il y a énormément d'articles. C'est par ici : Merci A très vite
Lire la suiteCe n'est même pas un aurevoir, le blog change de plateforme. Retrouvez Lait Caillé du Cinéma sur Wordpress à cette adresse : https://laitcailleducinema.wordpress.com/ Merci
Lire la suiteAprès avoir longtemps tourné autour du genre, pour ne pas dire du pot, Tarantino livre enfin son western. On sait depuis longtemps qu'en tant que cinéphile, c'est, de loin, son genre préféré. De la crasse assumée des westerns spaghettis (le générique...
Lire la suiteThe Master, et c'est l'apanage des grands films tels que je les perçois, cache derrière sa perfection esthétique, sa classe et sa mise en scène d'une précision horlogère, des tournures narratives un peu moins orthodoxes, pas moins mathématiques ou moins...
Lire la suiteVoilà maintenant un petit moment qu'on a appris à se méfier du label "film indépendant", sorte de mouvance anti-mainstream qui a fini par répondre des mêmes syndromes de formatage artistique — ce n'est plus seulement le peu de moyens qui les réunit, c'est...
Lire la suiteAprès un brillant Jesse James, qui alliait une esthétique lumineuse à un réel travail sur la psychologie des personnages, la déception est lourde. En voyant Killing Them Softly, on a bien du mal à saisir la parenté avec le précédent film de Dominik, excepté...
Lire la suiteSi vous m'aviez dit, alors que je commençais la série il y a peu, que The Office deviendrait une référence absolue du petit-écran je vous aurais ri au nez. Et il y a bien une raison à cela, c'est que la série ne se juge pas, même ne s'apprécie pas au...
Lire la suiteJe partais conquis. Mes incursions de plus en plus fréquentes, intéressées et donc proportionnellement critiques dans le monde du 7ème art n'avaient pas écroulé la statue Nolan, peinaient-elles déjà à l'éroder. Le premier volet était bancal mais intéressant...
Lire la suiteGrandement inspiré des Affranchis, que ce soit dans l'histoire d'amitié impossible ou dans la mise en scène Scorsese pur jus — ou encore parce qu'un mec passe le film à pencher la tête et plisser le front pour se la jouer Bob De Niro — Chingoo perd en...
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